Cancer du foie. Enfin un traitement médical efficace 2010.

Le Pr Thierry Poynard, chef du service d’hépatologie à la Pitié-Salpêtrière, nous explique la nouvelle approche médicale pour les cancers primitifs du foie, présentée à Boston lors du dernier congrès de l’American Association, aux résultats très encourageants.

Quelle est actuellement la fréquence des cancers primitifs du foie ? Pr Thierry Poynard. On en recense 500 000 nouveaux cas par an dans le monde dont 5 000 en France. La quasi-totalité de ces cancers survient chez des patients atteints de cirrhose, dont on connaît les facteurs favorisants : hépatites B et C, alcoolisme, diabète, certains dérèglements métaboliques au niveau des graisses... Quels symptômes permettent de soupçonner une cirrhose ? Pr T. P. Cette maladie, malheureusement, évolue la plupart du temps en silence. Les symptômes n’apparaissent que lorsque la cirrhose est parvenue à un stade avancé. Ensuite, si un cancer s’installe, il n’y aura pas d’autres signes spécifiques. Comment alors déceler une cirrhose ? Pr T. P. Il existe des examens sanguins permettant de diagnostiquer son existence. Ces tests sont généralement prescrits chez les sujets à risques, mais ne donnent pas la possibilité de détecter un cancer du foie. En cas de cirrhose, comment éviter la formation d’une tumeur hépatique ? Pr T. P. On prescrit au patient deux examens : une échographie du foie pour rechercher la présence d’une éventuelle tumeur et un dosage dans le sang d’un marqueur spécifique, l’alpha fœtoprotéine. Même en cas de résultats négatifs, ces deux examens sont à répéter tous les six mois. Pour venir à bout d’une cirrhose, il faut en traiter la cause. Habituellement, comment prend-on en charge les cancers primitifs du foie ? Pr T. P. Quand la tumeur est opérable, on l’enlève chirurgicalement. Malheureusement, les récidives sont fréquentes. Lorsqu’elle est trop importante pour être opérée, on envisage une transplantation de foie, mais il y a trop peu de greffons, ce qui retarde la greffe. En cas de contre-indication à la chirurgie, on propose une chimioembolisation pour obstruer l’artère nourricière de la tumeur ainsi qu’une chimiothérapie locale, où l’on injecte directement les drogues anticancéreuses. Quand le cancer est vraiment très petit (moins de 3 centimètres), on propose depuis quelques années un traitement aux ultrasons par radiofréquence, destiné à détruire les cellules cancéreuses. Les meilleurs résultats sont obtenus par la transplantation, mais il s’agit d’une opération lourde, comportant de nombreuses contre-indications (âge, état général...). Les petits cancers traités chirurgicalement ou par ultrasons peuvent donner des résultats satisfaisants, mais il faut craindre une récidive. Les traitements par chimiothérapie ont beaucoup d’effets secondaires et leur efficacité est modérée. En quoi consiste le tout nouveau traitement par voie orale à base de sorafenib ? Pr T. P. Il s’agit d’un produit qui freine fortement la prolifération des cellules cancéreuses, en empêchant la vascularisation qui nourrit la tumeur. Ce médicament, un inhibiteur des protéines kinases, avait déjà fait ses preuves dans le traitement du cancer du rein où, là encore, il “affame” le cancer en le coupant de ses vaisseaux nourriciers. Quels résultats a-t-on obtenus avec ce médicament ? Pr T. P. Une étude internationale a été réalisée chez 600 patients atteints d’un cancer hépatique provenant d’une cirrhose, mais bénéficiant encore d’un bon état général. Le traitement, à raison de deux comprimés par jour, a été administré durant au moins un mois à 300 sujets de l’étude, les autres ont reçu un placebo. Résultats : dans le groupe traité, on a observé une augmentation de la survie de 40 %, ce qui est très encourageant car on va pouvoir associer ce nouveau médicament avec les autres approches conventionnelles anticancer et renforcer ainsi la stratégie d’attaque ; on espère notamment que ce tout dernier protocole va permettre d’empêcher les récidives, et entraîner une augmentation encore plus importante de la survie. Ce nouveau traitement provoque-t-il des effets secondaires ? Pr T. P. Oui, mais ils sont beaucoup moins lourds que ceux de la chimiothérapie habituelle. On a relevé des cas de diarrhées, des irruptions cutanées, supportables pour une vie sociale. On déplore également de fréquentes chutes de cheveux, mais qui sont transitoires. Compte tenu des bénéfices importants et de la relative bonne tolérance, il s’agit d’un progrès majeur.

2 commentaires:

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  2. Un grand merci au Dr Iyabiye qui a traité/guéri mon frère de l'HÉPATITE B chronique et de la cirrhose. Mon frère a été diagnostiqué de la maladie l'année dernière et nous avons essayé plusieurs médicaments antiviraux, mais ils n'ont tous servi à rien. À un moment donné, mon frère a développé un estomac gonflé et une perte d'appétit, je suis allé en ligne par frustration pour un nouveau médicament et je suis tombé sur la recommandation de ce médecin. Je l'ai contacté et mon frère a été guéri après la fin du traitement et a été testé négatif à l'hôpital. Contact du Dr iyabiye : appel/whatsapp : +234-815-857-7300 et email : iyabiyehealinghome(@)gmail.com

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